Un serveur de commande et de contrôle (serveur C&C) est un ordinateur qui envoie des commandes à des dispositifs distants, tels que des ordinateurs, des botnets et des drones. Le serveur est généralement contrôlé par un attaquant ou un acteur malveillant. Les commandes émises par le serveur C&C peuvent être utilisées pour effectuer diverses tâches, comme le téléchargement et l'exécution de fichiers, le vol de données et le lancement d'attaques par déni de service (DoS).
Dans de nombreux cas, le serveur C&C est utilisé pour contrôler un botnet, c'est-à-dire un réseau d'ordinateurs infectés qui peut être utilisé pour mener des attaques. Le serveur C&C peut envoyer des commandes au botnet, qui les exécutera ensuite sur les ordinateurs cibles. Les botnets sont souvent utilisés pour lancer des attaques par déni de service distribué (DDoS), dans lesquelles un grand nombre d'ordinateurs sont utilisés pour bombarder une cible avec du trafic, provoquant le crash ou l'indisponibilité du site.
Les serveurs C&C peuvent également être utilisés pour contrôler des drones, des véhicules aériens sans pilote (UAV) qui peuvent être utilisés pour la surveillance ou pour mener des attaques. Le serveur C&C peut envoyer des commandes au drone, qui exécutera alors les souhaits de l'attaquant. Les drones peuvent être utilisés pour mener des attaques telles que le largage d'explosifs ou la libération de produits chimiques.
Le terme "serveur de commande et de contrôle" est souvent utilisé de manière interchangeable avec "contrôleur de botnet" ou "contrôleur de drone".
Qu'est-ce que le C&C callback ?
Le C&C callback est un mécanisme utilisé par les logiciels malveillants pour exfiltrer des données d'un hôte infecté vers un serveur distant contrôlé par l'attaquant. Cela se fait généralement en établissant une connexion réseau sortante entre l'hôte infecté et le serveur de l'attaquant sur un port spécifique. Les données sont ensuite exfiltrées via cette connexion réseau. Les ports de rappel sont souvent codés en dur dans le logiciel malveillant, mais peuvent également être configurés par l'attaquant via un serveur de commande et de contrôle (C&C).
Qu'est-ce que le C3 command, control ? Le commandement et contrôle C3 fait référence à la gestion centralisée de la sécurité du réseau d'une organisation. Il s'agit d'une architecture de sécurité qui permet à l'équipe de sécurité de disposer d'un point de contrôle unique pour tous les dispositifs et systèmes de sécurité du réseau. Cela permet une gestion de la sécurité plus efficace et plus efficiente, ainsi qu'une meilleure visibilité de la posture de sécurité du réseau.
Qu'est-ce que le bot master ?
Le bot master est la personne ou l'organisation qui contrôle un botnet. Un botnet est un réseau d'ordinateurs infectés par un malware qui permet au bot master de les contrôler à distance. Le bot master peut utiliser le botnet pour lancer des attaques, envoyer des spams et commettre d'autres cybercrimes.
Quel est le meilleur cadre C2 ?
Il n'existe pas de "meilleur" framework C2, car il en existe de nombreux types différents, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients. Cependant, certains des frameworks C2 les plus populaires incluent Metasploit, Cobalt Strike et Empire.
Qu'est-ce que le CNC DDOS ?
Le DDOS CNC est un type d'attaque par déni de service distribué (DDoS) dans lequel l'attaquant coordonne les activités d'un grand nombre d'ordinateurs ou de dispositifs afin d'inonder un système cible de trafic, le rendant indisponible pour les utilisateurs légitimes.
L'attaquant contrôle généralement un "botnet" - un réseau d'ordinateurs ou de dispositifs infectés qui peuvent être utilisés pour mener des attaques - et l'utilise pour envoyer de grandes quantités de trafic vers le système cible. Cela peut submerger le système cible, le faire tomber en panne ou le rendre indisponible.
Les attaques DDOS de la CNC sont souvent utilisées pour cibler des services en ligne tels que des sites web ou des serveurs de jeux, ainsi que des infrastructures critiques telles que des banques ou des centrales électriques. Les attaques
peuvent être difficiles à défendre, car l'attaquant peut utiliser un grand nombre d'ordinateurs ou de dispositifs pour générer du trafic à partir de nombreux endroits différents. Toutefois, les organisations peuvent prendre certaines mesures pour se protéger, comme l'utilisation de pare-feu et de systèmes de détection/prévention des intrusions, et s'assurer que leurs systèmes sont correctement configurés et à jour.