Comité du commerce et de l’environnement (CCE)

Le Comité du commerce et de l'environnement (CCE) est un organe des Nations Unies créé en 1992 pour examiner la relation entre le commerce et l'environnement. Le CTE fait partie du Conseil économique et social des Nations unies (ECOSOC) et rend compte au Conseil du commerce et du développement (TDB) de l'ECOSOC.
Le CTE est chargé d'identifier et d'évaluer l'impact de la libéralisation du commerce sur l'environnement, et de formuler des recommandations sur la manière de remédier à tout impact négatif. Le CTE s'efforce également de sensibiliser aux liens entre le commerce et l'environnement et de promouvoir la coopération entre les organes de l'ONU chargés du commerce et de l'environnement.
La CTE est composée de 24 experts issus de divers horizons, notamment du monde universitaire, des gouvernements et de la société civile. La CTE se réunit chaque année et son travail est soutenu par un secrétariat basé à Genève.

Quelle organisation soutient les efforts visant à minimiser les actions humaines ayant un impact négatif sur l'environnement ?

Il existe de nombreuses organisations différentes qui soutiennent les efforts visant à minimiser les actions humaines ayant un impact négatif sur l'environnement. Certaines de ces organisations sont des entités gouvernementales, tandis que d'autres sont des groupes privés ou des organisations à but non lucratif.
Une organisation gouvernementale qui soutient la protection de l'environnement est l'Agence de protection de l'environnement (EPA). L'EPA est chargée d'établir et de faire respecter les réglementations qui protègent l'environnement. L'EPA fournit également des informations et des ressources pour aider les particuliers et les entreprises à réduire leur impact sur l'environnement.

Une autre organisation gouvernementale qui soutient la protection de l'environnement est le ministère de l'Intérieur des États-Unis (DOI). Le DOI gère les terres publiques de la nation, qui abritent de nombreuses espèces sensibles et menacées. Le DOI s'efforce également de réduire l'impact des activités humaines sur les terres publiques.

Les groupes privés et les organisations à but non lucratif qui soutiennent la protection de l'environnement comprennent le Sierra Club, le Nature Conservancy et le World Wildlife Fund. Ces organisations s'efforcent d'éduquer le public sur les questions environnementales, de faire pression pour des politiques qui protègent l'environnement et de soutenir les efforts de conservation.

Pourquoi le cycle de Doha pour le développement a-t-il échoué ?

Le cycle de Doha pour le développement était un cycle de négociations commerciales de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), qui s'est déroulé de 2001 à 2013. Le cycle de Doha a débuté par une réunion ministérielle à Doha, au Qatar, en novembre 2001. Son objectif était d'abaisser les barrières commerciales dans le monde entier, en s'attachant à rendre le commerce plus équitable pour les pays en développement. Cependant, les négociations n'ont pas abouti à un accord et le cycle a été considéré comme un échec.

L'échec du cycle de Doha s'explique par un certain nombre de raisons. Tout d'abord, il y a eu un manque de consensus entre les membres de l'OMC sur les objectifs des négociations. Les pays développés, menés par les États-Unis, souhaitaient que les négociations se concentrent sur la libéralisation du commerce dans l'agriculture et l'industrie manufacturière, tandis que les pays en développement voulaient que les négociations portent sur des questions telles que l'accès aux médicaments et la sécurité alimentaire. Ce désaccord a rendu difficile l'obtention d'un accord sur le programme de négociation.

Deuxièmement, il y avait un manque de volonté politique pour parvenir à un accord. Les négociations ont traîné pendant plus d'une décennie sans que des progrès significatifs ne soient réalisés. Cela s'explique en partie par le fait que les négociations se sont déroulées pendant une période de troubles économiques, notamment les attaques terroristes du 11 septembre 2001 et la crise financière mondiale. En conséquence, il y avait peu d'appétit politique pour faire des compromis sur des questions commerciales sensibles.

Troisièmement, il y avait un manque de confiance entre les parties aux négociations. Cela était dû en partie au fait que les négociations étaient souvent considérées comme injustes pour les pays en développement. Par exemple,

Quel est le rôle du GATT en matière d'environnement ?

L'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) est un accord commercial multilatéral qui a été conclu en 1947. Cet accord a été conçu pour promouvoir le commerce international en réduisant les droits de douane et autres barrières commerciales.
Les dispositions du GATT relatives au commerce des marchandises sont contenues dans l'Accord sur les tarifs douaniers et le commerce (ATTR), qui constitue l'annexe 1A de l'Accord sur l'OMC. L'ATTR énonce les principes du GATT, notamment le principe de la nation la plus favorisée (NPF) et le principe de non-discrimination.
Le principe de la NPF exige des membres de l'OMC qu'ils traitent tous les autres membres de l'OMC sur un pied d'égalité en ce qui concerne les tarifs et autres mesures commerciales. Le principe de non-discrimination exige que les membres de l'OMC s'accordent mutuellement le traitement NPF et le traitement national. Le traitement national signifie que les marchandises importées ne sont pas traitées moins favorablement que les marchandises produites dans le pays.

Les dispositions du GATT relatives au commerce des services sont contenues dans l'Accord général sur le commerce des services (AGCS), qui constitue l'annexe 1B de l'accord de l'OMC. L'AGCS énonce les principes du GATT pour le commerce des services, notamment le principe NPF et le principe du traitement national.

L'Accord de l'OMC contient également deux autres annexes qui concernent l'environnement : l'annexe B sur le commerce et l'environnement, et l'annexe C sur le commerce et le changement climatique.

L'annexe B définit l'approche de l'OMC en matière de commerce et de mesures environnementales. Elle contient un certain nombre de dispositions relatives à l'environnement, notamment un engagement de l'OMC à respecter les règles de l'OMC en matière de commerce et d'environnement.