Une attaque active est un type de cyberattaque dans lequel un attaquant cherche à obtenir un accès non autorisé à un système ou à un réseau informatique en altérant, détruisant ou perturbant les données ou le trafic légitimes. Contrairement à une attaque passive, qui cherche à écouter ou à surveiller les communications, une attaque active tente de modifier les ressources du système ou d'affecter leur disponibilité.
Les attaques actives courantes comprennent les attaques par déni de service (DoS), au cours desquelles un attaquant rend un système ou des réseaux indisponibles pour les utilisateurs légitimes en les inondant de trafic inutile ; les attaques de type "man-in-the-middle" (MitM), au cours desquelles un attaquant s'insère dans une communication entre deux parties afin d'intercepter et/ou de manipuler les données échangées ; et les attaques par débordement de mémoire tampon, au cours desquelles un attaquant envoie plus de données qu'un système ne peut en traiter, ce qui provoque son arrêt ou permet à l'attaquant d'accéder à des informations sensibles.
Les attaques actives sont plus difficiles à détecter et à combattre que les attaques passives, car elles ne laissent que peu ou pas de traces de leur existence. Cependant, certaines attaques actives peuvent être détectées en surveillant le trafic réseau à la recherche de schémas inhabituels ou en analysant les journaux système à la recherche d'activités inhabituelles.
Un exemple d'attaque passive ? Une attaque passive est une attaque dans laquelle un attaquant n'interagit pas directement avec le système cible, mais observe et rassemble des informations sur le système cible. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour lancer une attaque plus sophistiquée. Les attaques passives sont souvent difficiles à détecter, car elles ne laissent aucun signe évident d'intrusion.
Qu'est-ce que la sécurité active ?
La sécurité active est une stratégie de sécurité qui vise à prévenir les attaques avant qu'elles ne se produisent. Elle s'oppose à la sécurité passive, qui se concentre sur la détection et la réaction après une attaque.
La sécurité active implique généralement des mesures proactives telles que des pare-feu, des systèmes de détection/prévention des intrusions et des logiciels antivirus. Ces mesures sont conçues pour stopper les attaques avant qu'elles ne fassent des dégâts. La sécurité active peut également impliquer des éléments tels que la formation à la sensibilisation à la sécurité, qui aide les employés à apprendre à repérer et à signaler les menaces potentielles.
La sécurité active est un élément essentiel de toute stratégie de sécurité, car elle permet de prévenir les attaques avant qu'elles ne se produisent. Cependant, il est important de se rappeler qu'aucune mesure de sécurité n'est parfaite et que les mesures de sécurité passive (telles que les sauvegardes et les plans de réponse aux incidents) sont également importantes au cas où une attaque réussirait à passer.
Qu'est-ce qu'une attaque et ses types ?
Une attaque est une tentative d'accès non autorisé à un système ou à un réseau informatique, ou de perturbation de son fonctionnement normal. Il existe de nombreux types d'attaques, mais les plus courantes sont les suivantes :
1. Les attaques par déni de service (DoS) : Ces attaques visent à rendre un système ou un réseau indisponible pour ses utilisateurs prévus en l'inondant de trafic ou en le submergeant de demandes de données.
2. Les logiciels malveillants : Il s'agit d'un terme générique pour les logiciels malveillants, qui peuvent inclure des virus, des vers, des chevaux de Troie et d'autres codes malveillants. Les logiciels malveillants peuvent être utilisés pour endommager ou perturber un système, ou pour voler des informations.
Les logiciels malveillants peuvent être utilisés pour endommager ou perturber un système, ou pour voler des informations. Les attaques de phishing prennent souvent la forme de faux courriels ou de faux sites Web qui semblent provenir d'une entreprise ou d'une organisation légitime.
Injection SQL : Il s'agit d'un type d'attaque dans lequel un code malveillant est injecté dans une requête de base de données afin d'exécuter des commandes non autorisées ou d'accéder à des données sensibles.
5. Attaques par déni de service distribué (DDoS) : Ces attaques sont similaires aux attaques DoS, mais elles impliquent plusieurs attaquants et systèmes. Les attaques DDoS peuvent être particulièrement dommageables car elles peuvent cibler des infrastructures critiques, comme les serveurs DNS ou les routeurs.
Qu'est-ce que le reniflage actif et passif ?
En général, le reniflage actif désigne tout type de reniflage dans lequel l'attaquant prend des mesures pour faire passer le trafic par son système afin de pouvoir le renifler. Le sniffing passif, quant à lui, consiste simplement à écouter le trafic qui passe déjà par le système de l'attaquant.
Un type courant de reniflage actif est l'empoisonnement ARP, dans lequel l'attaquant envoie de fausses réponses ARP au système de la victime afin de l'amener à envoyer du trafic vers le système de l'attaquant au lieu de la destination prévue. Un autre type de reniflage actif est le DHCP starvation, dans lequel l'attaquant envoie des requêtes DHCP dans le but d'épuiser le pool d'adresses IP du serveur DHCP, l'amenant à distribuer des adresses que l'attaquant sait déjà être utilisées.
Le reniflage passif peut être tout aussi efficace que le reniflage actif, et dans certains cas, il peut même être plus facile à réaliser. Par exemple, si un attaquant se trouve sur le même segment de réseau que la victime, il peut simplement écouter le trafic qui passe par son système. Si l'attaquant ne se trouve pas sur le même segment de réseau que la victime, il peut tout de même renifler passivement le trafic en utilisant une technique appelée "port mirroring", qui consiste à faire en sorte qu'un commutateur envoie une copie de tout le trafic à un port sur lequel l'attaquant écoute.